5 juin 2014
Les Orphelins
A la mémoire de C. Faure Je ne verrai plus ces yeux mobiles et rieurs qui m'offraient leur sourire. Toujours en vivacité, ni arrêt ni pause, son âme était joyeuse. Un beau naturel, une franchise qui longtemps après les rencontres s'accrochaient en moi...